Vous êtes Erik, prince d'Excalabria, et vous partez en quête de retrouver celui qui a assassiné votre père, le démon Tsarkon. Pour avoir une chance de le vaincre vous devrez d'abord récupérer les 8 anneaux magiques. 

L'AM2 se risque à son premier jeu exclusivement console en la présence de ce RPG des plus classiques. L'univers de Sword of Vermilion prend racine dans la cavalerie et les chevaliers en armures lourdes. Le jeu est terriblement linéaire et répétitif: dans chaque village il faut trouver le villageois qui vous donne un plan et une quête, il faut ensuite battre le boss du donjon ou trouver un item, puis parler au Roi pour récupérer un des 8 anneaux, et ainsi de suite.

Les déplacements en ville se font de façon classique avec une vue de haut. Lors des donjons et des déplacements sur la carte du monde, la vue passe à la première personne (à la manière de Phantasy Star) et s'affiche dans la fenêtre de gauche tandis que l'autre fenêtre montre la map. Les combats sont en temps réel, on peut donner des coups d'épée et utiliser des magies mais pas d'items. Les monstres ont un comportement étrange, ils sont bêtes et aveugles, ce qui rend les combats inintéressants. Lors des boss le jeu offre une vue de côté comme dans un jeu de combat. Les déplacements se limitent à avancer, s'accroupir, frapper puis reculer pour esquiver. Encore une phase très limitées et finalement sans grand intérêt. A croire que tous le budget du jeu est passé dans les graphismes (bien que les décors soient peu variés) et la musique plutôt réussie.

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